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En 2024, si vous parlez encore de GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences), il est grand temps de mettre à jour votre vocabulaire RH ! Depuis 2017, le terme officiel est GEPP : Gestion des Emplois et des Parcours Professionnels. Pourtant, combien d’entre nous persistent à utiliser l’ancien acronyme ? Cette résistance au changement terminologique est presque aussi tenace que les défis auxquels la GEPP elle-même est confrontée. Dans cet article, nous allons plonger dans la réalité de la GEPP en 2024, explorer ses évolutions récentes et décrypter comment cette pratique, quel que soit le nom qu’on lui donne, s’adapte aux bouleversements du monde du travail. Préparez-vous à un voyage au cœur de la gestion prévisionnelle du futur, où le changement est la seule constante !

1. La GEPP en 2024 : entre réalité officielle et pratiques sur le terrain

En 2024, parler de GPEC, c’est un peu comme utiliser un Nokia 3310 : ça fonctionne encore, mais ce n’est plus vraiment à la page. Officiellement, depuis 2017, nous sommes censés dire GEPP (Gestion des Emplois et des Parcours Professionnels). Mais comme pour beaucoup de changements imposés d’en haut, la réalité du terrain est bien différente.

Dans les couloirs des entreprises et les salles de réunion, “GPEC” résonne encore plus souvent que “GEPP”. Pourquoi ? Peut-être parce que changer une habitude est aussi compliqué que de faire adopter le flex office à un manager accro à son bureau personnel.

Mais au-delà de cette guerre des acronymes, qu’est-ce qui a vraiment changé depuis 2017 ? La GEPP met l’accent sur les “parcours professionnels”, traduisant une vision plus dynamique et individualisée de la gestion des carrières. Exit la vision figée des “emplois”, place à la fluidité des parcours !

En 2024, la GEPP fait face à des défis inédits :

  1. L’accélération de l’obsolescence des compétences
  2. L’essor du travail hybride et ses implications sur la gestion des talents
  3. L’intégration de l’intelligence artificielle dans les processus RH

Finalement, que vous l’appeliez GPEC ou GEPP, l’essentiel est d’avoir une approche qui anticipe les besoins en compétences et accompagne les collaborateurs dans leur évolution. Comme dirait un consultant en management : “Ce n’est pas l’acronyme qui compte, c’est la valeur ajoutée !” (Oui, les consultants parlent vraiment comme ça en 2024).

2. Les nouvelles technologies au service de la GEPP en 2024

Si la GEPP était un smartphone, en 2024, elle serait un modèle dernier cri boosté à l’IA. Fini le temps où on sortait la boule de cristal pour prédire les besoins en compétences. Aujourd’hui, c’est l’intelligence artificielle qui s’en charge, et elle ne lit pas dans le marc de café, elle !

L’IA dans la GEPP, c’est un peu comme avoir Nostradamus dans votre équipe RH, mais en plus précis et sans les quatrains cryptiques. Des entreprises comme TalentTech ou SkillSage (noms fictifs, mais avouez qu’ils en jettent) utilisent des algorithmes sophistiqués pour analyser les tendances du marché, les évolutions technologiques, et même les signaux faibles de l’économie. Résultat ? Une cartographie des compétences futures aussi précise qu’une carte Google, mais pour votre entreprise.

Parlons Big Data et analytics RH. Imaginez un mixeur géant qui broie et analyse toutes les données de votre entreprise : CV, évaluations, formations suivies, projets réalisés… En 2024, ce n’est plus de la science-fiction. Des outils comme DataSkills Pro (encore un nom fictif, on s’amuse comme on peut) permettent de créer des profils de compétences ultra-détaillés et de repérer les talents cachés. C’est comme jouer aux “7 familles” version entreprise, mais avec un deck de 10 000 cartes !

Et que dire des outils de simulation et de modélisation des parcours professionnels ? C’est un peu “Sim City”, mais pour les carrières. Des plateformes comme CareerCraft (décidément, je suis inspiré aujourd’hui) permettent aux employés de visualiser différents scénarios de carrière, comme dans un jeu vidéo. “Si je prends cette formation, où serai-je dans 5 ans ?” devient une question à laquelle on peut réellement répondre.

Mais attention, ces technologies ne sont pas sans soulever des questions éthiques. Utiliser l’IA pour prédire le potentiel d’un employé, n’est-ce pas un peu “Minority Report” version RH ? Et quid de la protection des données personnelles ? En 2024, le défi n’est plus seulement d’adopter ces technologies, mais de le faire de manière éthique et responsable.

Finalement, la GEPP 2024 ressemble à un épisode de Black Mirror, mais en moins flippant et plus utile. Du moins, on l’espère.

3. L’impact des nouvelles formes de travail sur la GEPP en 2024

Si la GEPP était un sport olympique en 2024, elle serait sans doute le décathlon des RH : une discipline qui demande polyvalence, adaptabilité et endurance face à un environnement professionnel en perpétuelle mutation.

Le télétravail et le travail hybride ont transformé la gestion des compétences en véritable casse-tête chinois. Comment évaluer les soft skills quand la moitié de vos employés sont en pyjama derrière leur écran ? Selon une étude de l’Observatoire du Travail Hybride (oui, ça existe), 68% des entreprises ont dû revoir leur approche GEPP pour s’adapter à cette nouvelle réalité. C’est un peu comme essayer de faire un puzzle dont les pièces changent de forme toutes les cinq minutes.

L’essor des freelances et de la gig economy a ajouté une nouvelle dimension à la GEPP. En 2024, 35% de la force de travail en France est composée de travailleurs indépendants (chiffre de l’INSEE). Les entreprises doivent désormais intégrer ces talents “volatils” dans leur stratégie. C’est comme essayer de faire un gâteau avec des ingrédients qui entrent et sortent constamment du frigo.

Au cœur de cette révolution, les soft skills sont devenues la nouvelle monnaie d’échange. Adaptabilité, créativité, intelligence émotionnelle… Ces compétences sont désormais plus précieuses que l’or (et probablement que le bitcoin, vu ses fluctuations). Une enquête menée par LinkedIn en 2023 révèle que 92% des recruteurs considèrent les soft skills comme essentielles, contre seulement 55% en 2015. La GEPP 2024 doit donc jongler entre hard skills techniques et soft skills relationnelles, comme un chef étoilé qui devrait maîtriser à la fois la cuisine moléculaire et la pâtisserie traditionnelle.

Face à ces défis, la GEPP doit se réinventer. Elle doit devenir aussi flexible qu’un yogi et aussi prévoyante qu’un écureuil avant l’hiver. Car en 2024, la seule chose prévisible dans la gestion prévisionnelle, c’est qu’il faut s’attendre à l’inattendu !

4. Les best practices de la GEPP en 2024

Si la GEPP était un sport olympique en 2024, elle serait sans doute le décathlon des RH : une discipline qui demande polyvalence, adaptabilité et endurance face à un environnement professionnel en perpétuelle mutation. Alors, quelles sont les techniques gagnantes pour décrocher l’or dans cette compétition ?

Première médaille : l’approche agile. En 2024, la GEPP ne peut plus se permettre d’être aussi rigide qu’un gymnaste aux anneaux. Elle doit être capable de pivoter plus vite qu’un danseur de breakdance (discipline olympique, si si !). Fini les plans quinquennaux gravés dans le marbre, place aux sprints trimestriels et aux réajustements constants.

La co-construction avec les collaborateurs, c’est un peu la course de relais de la GEPP moderne. L’époque où les RH décidaient seuls des parcours professionnels est aussi révolue que les combinaisons de natation en polyuréthane. En 2024, 78% des entreprises les plus performantes (selon une étude de McKinsey) impliquent activement leurs employés dans la définition de leurs trajectoires professionnelles. C’est comme si on demandait aux athlètes de dessiner leur propre parcours du combattant !

Enfin, l’intégration de la GEPP dans la stratégie globale de l’entreprise, c’est un peu comme synchroniser la natation artistique : tout doit être parfaitement coordonné. Les entreprises championnes sont celles qui alignent leur GEPP avec leurs objectifs stratégiques, leurs valeurs et leur culture. C’est un véritable ballet aquatique où chaque mouvement RH doit être en harmonie avec la partition globale de l’entreprise.

En conclusion, la GEPP en 2024 est un véritable sport de haut niveau. Elle demande de l’agilité, de l’esprit d’équipe et une vision stratégique digne d’un entraîneur olympique. Alors, prêts à monter sur le podium de la gestion prévisionnelle ?

Conclusion

En 2024, la GEPP (ou GPEC pour les nostalgiques) a définitivement quitté son costume de bureaucrate pour enfiler la tenue d’un athlète de haut niveau. Flexible, technologique et centrée sur l’humain, elle est prête à relever les défis d’un monde du travail en constante évolution. Qui sait, peut-être qu’en 2028, nous parlerons de GIAI : Gestion Intelligente et Adaptative des Individus !

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